L'adoration
Comment ne pas adorer le bouvier bernois, de ce chien pot de colle, câlin, intelligent. Avez-vous déjà entendu parler d’un bouvier qui aurait attaqué, blessé, mordu, une personne! Jamais, voilà pourquoi avec mon papa, nous avons adopté cette race de chien avec notre premier bouvier femelle Jessy. Etant novice sur cette race, nous avons acheté notre boubou à un particulier sans prendre de précautions concernant les tares de cette race. Notre adorable Jessy nous a fait 4 jolis chiots, malheureusement un des chiots avait une dysplasie et son propriétaire a dû le faire opérer. Notre adorable Jessy est partie aux paradis des animaux à 4 ans ½ d’un sarcome histiocytaire. Merci, Jessy pour ces quelques années de bonheur
C’est pour cela que nous avons été très méfiant sur l’achat de nos 2 jolies femelles bouviers en parcourant plus de 450 kilomètres. Pour la dysplasie des hanches et coudes, des radios ont été effectuées par notre vétérinaire, et la lecture faite par un autre vétérinaire officiel de l’AFBS. Pour les différentes recherches de maladies, des tests ont été effectués par le laboratoire Antagène. Bien sûr, ces tests ne donnent pas l’assurance à 100 % qu’elles n’auront pas une de ces maladies, mais au moins limite fortement d’après les recherches qui sont effectuées à Rennes. Depuis plus de 8 ans, l’équipe Génétique du Chien du CNRS de Rennes et ses collaborateurs mènent une étude génétique sur le Sarcome Histiocytaire chez le Bouvier Bernois, pour cela, nous avons autorisé à des prélèvements sur notre adorable Jessy, afin de participer à leurs recherches.
De ce fait, avec mon papa nous prenons toutes les précautions pour avoir de jolis bébés issus de nos mères testées et radiographiées. Peut-être, devrait-on limiter les naissances seulement aux mamans et papas testés avec des résultats assurant une longévité à nos chers boubous, cela peut être permettrait de radicaliser petit à petit cette maladie, qu’est le sarcome histiocytaire.
Pour le géniteur, nous avons recherché forcément un mâle testé et radiographié, et nous l’avons trouvé, là, aussi nous avons fait plus de 250 kilomètres. Il est beau et adorable, alors, comment ne pas avoir de jolis bébés bouviers, et surtout, ce qui est le plus important, QU’ILS VIVENT TRES LONGTEMPS.
C’est pour cela que nous avons été très méfiant sur l’achat de nos 2 jolies femelles bouviers en parcourant plus de 450 kilomètres. Pour la dysplasie des hanches et coudes, des radios ont été effectuées par notre vétérinaire, et la lecture faite par un autre vétérinaire officiel de l’AFBS. Pour les différentes recherches de maladies, des tests ont été effectués par le laboratoire Antagène. Bien sûr, ces tests ne donnent pas l’assurance à 100 % qu’elles n’auront pas une de ces maladies, mais au moins limite fortement d’après les recherches qui sont effectuées à Rennes. Depuis plus de 8 ans, l’équipe Génétique du Chien du CNRS de Rennes et ses collaborateurs mènent une étude génétique sur le Sarcome Histiocytaire chez le Bouvier Bernois, pour cela, nous avons autorisé à des prélèvements sur notre adorable Jessy, afin de participer à leurs recherches.
De ce fait, avec mon papa nous prenons toutes les précautions pour avoir de jolis bébés issus de nos mères testées et radiographiées. Peut-être, devrait-on limiter les naissances seulement aux mamans et papas testés avec des résultats assurant une longévité à nos chers boubous, cela peut être permettrait de radicaliser petit à petit cette maladie, qu’est le sarcome histiocytaire.
Pour le géniteur, nous avons recherché forcément un mâle testé et radiographié, et nous l’avons trouvé, là, aussi nous avons fait plus de 250 kilomètres. Il est beau et adorable, alors, comment ne pas avoir de jolis bébés bouviers, et surtout, ce qui est le plus important, QU’ILS VIVENT TRES LONGTEMPS.